Le Covid 19 a mis en exergue les problématiques de la mondialisation. Réorganiser une vie collective de proximité après Covid 19 s’impose.

Nous pouvons penser que le village, englobant l’utile et l’agréable, va faire retour. A l’instar du shtetl (villages juifs d’Europe centrale existants jusqu’à la seconde guerre mondiale), les Kibboutz urbains et rurbains ajouteront au village de l’après Covid 19 un vécu spirituel et d’entraide entrant dans le cadre traditionnel du « Tikkoun Olam » (terme kabbalistique renvoyant à la réparation du monde, tâche dévolue aux humains).

Le virtuel donnera relais et fertilisera le quotidien des kibboutz urbains, rurbains, comme des villages en tous genres, du local à l’international.

Le Kibboutz de Paris propose un mode de vie semi-nomade innovant :

• une mise en réseau internationale par le virtuel de collectifs impliqués dans une vie et une consommation de proximité.
• des temps de rencontres à loisir bien qu’à peu de frais, dans ses différents spots.

Une mobilité occasionnelle facilitée, dans un souci écologique et de limitation des voyages polluants, « low cost » etc.

Le nouveau cadre après covid 19 ne génère donc aucun remaniement quant au projet de fondation du premier kibboutz en réseau à l’international dont le Kibboutz de Paris représente le pôle français.